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 le tofu ce poison silencieux

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Arcal
Maître Nécromancien
Arcal


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MessageSujet: le tofu ce poison silencieux   le tofu ce poison silencieux EmptyJeu 18 Avr 2013 - 21:37

Le soja, un sujet qui se fait de plus en plus entendre, que se soit sur le plan environnementale ou sur la santé (humaine ou/et animale).
Mais est-ce vrais et si oui quels sont les risques ou symptômes ?

Evidement nous ne parlons pas du soja OGM mais du biologique ou conventionnel.

Voici un extrait d’un livre du naturopathe Eric Darche "Mon alimentation, mon meilleur médecin !"

"D’après une étude publiée par le Lancet en 1997, le seul fait de boire 2 verres de lait de soja par jour est suffisant pour perturber le cycles menstruel des femmes.

Le plasma des enfants nourris au lait maternisé à base de soja contient de 13 000 à 22 000 fois plus d’œstradiol (œstrogène ou hormone féminine) que le plasma des enfants nourris au lait de vache maternisé (Sally Fallon, 3e symposium international sur le soja). De nombreux végétaux comestibles contiennent des phytoestrogènes, mais leur concentration en hormone oestrogénique est dix mille fois moindre que dans le soja.

D’autre part, on a estimé qu’un bébé nourri exclusivement de lait de soja reçoit l’équivalent en oestrogènes (proportionnellement au poids de corps) d’au moins cinq pilules contraceptives par jour, ce qui entraîne une puberté précoce chez les filles. Chez les garçons le soja multiplie par cinq les risques d’anomalies du pénis, lorsque la mère a usé largement du soja pendant sa grossesse.

Il est conseillé de manger du soja uniquement fermenté, si l’on souhaite en consommer un peu. Le soja est fortement déconseillé pour les bébés. En cas d’allergie aux protéines du lait de vache, ne pas lui substituer du lait de soja : cette légumineuse fait partie des allergènes reconnus.

Michel Dogna précise que, d’après certaine études, il semble que les personnes mangeant, ne fût-ce que deux ou trois par semaine, une portion normale de tofu, présentent un rétrécissement accéléré du cerveau joint à une diminution des fonctions cognitives . D’autres études datant de 1986, auraient prouvé que l’ingestion régulière de soja peut mener à de sérieux problèmes neurologiques et entraîner des troubles émotionnels, allant de la mauvaise humeur à la dépression chronique ou permanente.

Les Chinois et les Japonais utilisent surtout les soja comme condiment et non comme substitut des protéines animales. Un Français particuliérement friand de produit au soja avalera davantage que la moyenne des asiatiques. Les Japonais, les plus gros consommateurs du continent, ingèrent en moyennes 45mg d’isoflavones par jour (oestrogéne). C’est moins que la quantité que l’on trouve dans un seul steak végétale ou un bol de « tonyu ».

Le soja est à consommer de préférence fermenté sous forme de : miso, tempeh, netto, shoyu, tamari. En effet la fermentation permet de détruire la quasi-totalité des toxiques du soja. La consommation de soja cuit, pour varier les menus, devra rester très modérée et occasionnelle.

Selon le docteur Claude Hughes, le soja s’est doté de certains moyens pour lutter contre ces prédateurs naturels. Il constitue ainsi un contraceptif oral puissant, chargé de nombreuse toxines, ce qui fait que les prédateurs qui en mangent diminuent en nombre et en taille.

Elément toxiques du soja :
- facteur d’agrégabilité plaquettaire ;
- facteur antithyroïdien, facteur anti-croissance ;
- facteur anti-trypsinogène (qui entrave la bonne digestion des protéines), toxique pour le pancréas et anti-croissance ;
- grande richesse en acide phytique inhibant l’absorption des minéraux et des oligo-éléments, en particulier le zinc ;
- action stéatogène (dépôts d’acide gras) au niveau hépatique.

Il a été constaté chez de nombreux enfants nourris au lait de soja, une altération de la muqueuse intestinale avec dégradation des villosités, favorisant la maladie cœliaque (du côlon).

Le soja et ses dérivés peuvent se trouver dans certaines margarines, dans certains bouillons végétaux, dans les concentrés de protéines végétales, etc."


autres sources:

L'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) a publié un rapport inquiétant sur l'impact pour la santé des molécules végétales du soja, appelées phyto-oestrogènes.

L'agroalimentaire nous avait vendu le soja comme le produit de remplacement du steak pour les végétariens, la panacée contre le mauvais cholestérol et le substitut idéal pour les nourrissons allergiques au lait. En épluchant les 370 pages du rapport, on découvre que les vertus des phyto-oestrogènes ne reposent sur aucune base scientifique solide et que ces composés qui miment les hormones sexuelles ne sont pas sans danger. Les études réalisées sur l'animal laissent craindre qu'une consommation à hautes doses chez le nourrisson ou pendant la grossesse peut altérer le développement des organes reproducteurs et augmenter le risque de cancers hormonodépendants. L'Afssa recommande de ne pas donner d'aliments à base de soja aux enfants de moins de 3 ans et fixe une limite à ne pas dépasser pour les femmes « ayant des antécédents de cancers du sein ». Soit l'équivalent, pour une femme de 60 kilos, d'un grand verre de lait et d'un yaourt au soja par jour. Sauf que, d'un verre de lait à un autre, la quantité de phyto-oestrogènes varie d'un facteur 100, et qu'un dessert peut en contenir de 8 à 76 milligrammes. Résultat : dans un cas, il faut en avaler plus de sept pour atteindre la limite et dans l'autre un seul suffit. C'est pourquoi l'Afssa demande aux industriels d'indiquer sur l'étiquette les teneurs en phyto-oestrogènes.
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Arcal
Maître Nécromancien
Arcal


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MessageSujet: Re: le tofu ce poison silencieux   le tofu ce poison silencieux EmptyJeu 18 Avr 2013 - 22:10

L’orthorexie nerveuse – quand manger trop sain devient malsain

Les personnes obnubilées par le dogme de «l’alimentation saine» sont en train de développer une nouvelle pathologie de l’alimentation. D’après l’Association suisse de l’alimentation, cette nouvelle obsession nutritionnelle, dénommée «orthorexia» ou «orthorexie nerveuse» – du grec «orthos» qui signifie correct et «orexis» qui signifie appétit – atteint des proportions alarmantes.

Désireux de soigner une maladie particulière ou allant trop loin dans la recherche d’aliments sains, les orthorexiques inventent leurs propres règles alimentaires. Ils passent de plus en plus de temps à se plier aux exigences qu’ils ont eux-mêmes déterminées et se sentent obligés de planifier leurs repas plusieurs jours à l’avance. Il leur arrive même de prendre un «kit de secours» dès qu’ils sortent car ils ne sauraient manger des aliments tout prêts, par crainte des graisses, des produits chimiques ou de tout ce que leur fait redouter leur phobie.

Le respect de leur régime est si contraignant qu’ils se posent en donneurs de leçons et se sentent supérieurs à ceux qui ne montrent pas la même volonté de fer. «Quelqu’un qui passe ses journées à manger du tofu et des biscuits à la quinoa se sent parfois aussi méritant que s’il avait consacré sa vie à aider les sans-abri», remarque le Dr Steve Bratman, le premier à avoir décrit l’orthorexie, en 1997. A l’inverse, si l’orthorexique déroge à son vœu et craque pour un aliment «interdit», il se sent coupable et souillé. Il se sent obligé de s’auto-punir en durcissant sans cesse ses règles alimentaires ou en pratiquant l’abstinence. Cette attitude est comparable à celle des anorexiques ou des boulimiques, à la différence près que ceux-ci se braquent sur les quantités, alors que les orthorexiques ne sont obnubilés que par la qualité.

Le consommateur européen est bombardé d’informations sur ce qui est «bon» ou «mauvais» pour sa santé. Les alertes alimentaires et les adeptes des produits biologiques ont encore ajouté à la complexité des décisions que les consommateurs doivent prendre en matière d’alimentation. Pour le Dr Bettina Isenschmid, consultant pour les pathologies alimentaires à l’Hôpital de l’Isle de Berne, cette mobilisation sur les bons et les mauvais aliments pose problème dans la mesure où elle génère, dans les pays occidentaux, une relation à l’alimentation quelque peu névrosée. Lorsqu’ils établissent leurs menus, les Européens se préoccupent aujourd’hui de leur santé. Comment trouver le juste équilibre entre la pratique d’une alimentation saine et l’obsession de manger sain ?

Comme pour tout ce qui concerne le régime alimentaire, la modération est essentielle. Les changements doivent avoir lieu progressivement, de manière à respecter les goûts et le style de vie de chacun. Manger sain suppose un effet positif sur la santé, mais ne doit pas s’accompagner d’une perte de la joie de vivre ni de la convivialité. Pour vérifier si une personne conserve le sens de la mesure ou au contraire tend à devenir obsédée, essayez de la soumettre au «Test de Bratman sur l’orthorexie».

Informations complémentaires
Institut national de prévention et d’éducation pour la santé: www.ineps.sante.fr
Association suisse pour l’alimentation : www.sve.org
The Health Food Junkie by Dr. Steve Bratman extracts: http://www.orthorexia.com/

Test de Bratman sur l’orthorexie
*Passez-vous plus de 3 heures par jour à penser à votre régime alimentaire ?
*Planifiez-vous vos repas plusieurs jours à l’avance ?
*La valeur nutritionnelle de votre repas est-elle à vos yeux plus importante que le plaisir de le déguster ?
*La qualité de votre vie s’est-elle dégradée, alors que la qualité de votre nourriture s’est améliorée ?
*Êtes-vous récemment devenu plus exigeant(e) avec vous-même ?
*Votre amour-propre est-il renforcé par votre volonté de manger sain ?
*Avez-vous renoncé à des aliments que vous aimiez au profit d’aliments «sains» ?
*Votre régime alimentaire gêne-t-il vos sorties, vous éloignant de votre famille et de vos amis ?
*Éprouvez-vous un sentiment de culpabilité dès que vous vous écartez de votre régime ?
*Vous sentez-vous en paix avec vous-même et pensez-vous bien vous contrôler lorsque vous mangez sain ?

En répondant oui à 4 ou 5 des questions ci-dessus, vous révélez qu’en ce qui concerne votre alimentation, mieux vaudrait avoir une attitude plus détendue. En répondant oui à toutes les questions, vous montrez que vous êtes complètement obsédé par le fait de manger sain. .
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MessageSujet: Re: le tofu ce poison silencieux   le tofu ce poison silencieux EmptyJeu 18 Avr 2013 - 23:41

Merci Alex pour ces partages !

Effectivement, concernant le soja j'ai entendu parler de ça récemment moi aussi, mais je n'ai pas encore pris le temps de faire mes propres recherches... Je me doute cependant que ce sera comme pour bien d'autres choses : il y aura les pros soja et les antis soja ! *rire* Des études contradictoires et tra la la ! Important, donc, de développer notre propre discernement et d'y aller selon ce que l'on ressent intérieurement...

Concernant l'orthorexie, je connaissais aussi ! Je dois avouer que je suis comme ça en ce qui concerne "la-substance-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom" ! *rire* Le glutamate monosodique ! Malheureusement, sur moi cette substance entraîne une addiction très forte... Lorsque j'en consomme ça me fait une réaction semblable à un ex-cocaïnomane qui reconsommerait une ligne; j'en veux plus et encore et toujours plus et ça devient ingérable et je me remet à reprendre du poids... Et comme j'ai déjà été vraiment obèse par le passé, ça ne me tente pas... Alors avec les années bien, j'ai fais mes choix... Mais comme il y a de ce foutu truc à peu près dans tout ce qui est préparé, ça n'est pas évident, mais j'assume ! De toute façon je me dis que c'est pas si mal, ce rehausseur de saveur tue carrément les neurones et comme ça ne repousse pas, des neurones, j'aime mieux garder celles qu'il me reste ! *rire* Sinon pour le reste, ben oui ça m'arrive de manger du pain blanc, pis du chocolat, pis des chips, pis des desserts, pis plein d'affaires ! Et avec grand plaisir, en plus ! *rire* Comme le dit si bien le docteur Béliveau, éminent chercheur en biochimie : "Le problème c'est pas ce qu'on mange, c'est la chronicité des événements..." En d'autres termes : on peut manger ce qu'on veut, mais avec bon sens et modération !

Quant à mon choix de manger bio il est oui motivé en partie par le désir d'offrir à mon organisme ce qu'il y a de mieux, mais en plus grande partie encore c'est motivé par la "santé de la planète"; autant pour sa flore que pour sa faune, et que pour ses eaux...

Encore une fois, chacun y va selon ce qu'il ressent ! Et si jamais je me goure, je m'en rendrai bien compte un jour ! *rire* Ça ne serait pas la première fois en 36 ans, que je "virerais mon capot de bord" ! *rire*

Merci encore pour ces deux textes ! Smile
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Azur le Sylvestre
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Azur le Sylvestre


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MessageSujet: Santé par les aliments   le tofu ce poison silencieux EmptyLun 22 Avr 2013 - 11:26

Salut !

Les fruits et légumes sont à la base de notre alimentation quotidienne. On nous a apprit par le guide alimentaire canadien que pour avoir une bonne santé il fallait varier nos aliments comme ils le suggèrent. Malheureusement pour eux je n'y crois plus depuis longtemps.

J'ai consulté le guide alimentaire d'un pays méditérannéen dans le passé pour me rendre compte qu'il était très différent. En forme de pyramide, chaque étage représentant la quantité de nourriture d'une sorte qu'on devrait manger au cours d'un mois! La base de la pyramide était associée à l'exercice physique, première nourriture quotidienne! Le second étage c'était les végétaux à tous les jours. Le troisième c'était les pains, lait et fromage aux 3 jours. Le 4ième c'était les poissons aux semaines. Il y avait d'autres étages associés à d'autres sortes d'aliments, mais je ne me souviens plus de tout et de l'ordre exact. Je me rappelle très bien de la base avec les végétaux et la pointe de la pyramide qui était la viande rouge à consommer une fois par mois! Assez différent de notre guide alimentaire en fonction du commerce.

Les personnes de loin en meilleure santé j'ai vu dans ma vie étaient végétaliennes, comprenant des germes qui sont des pousses vivantes. Pas juste en meilleur santé, mais également en meilleures formes physiques et intellectuelles. Leur nourriture était très simple, peu transformée par diverses formes de cuissons.

Dans divers ouvrages anciens, il en est fait régulièrement mention. Dans un livre écrit par des moines taoïstes, j'ai lu un passage sur les légumes vapeur. Il ne mettait pas de couvercles au-dessus de leurs légumes pour les faire cuire plus vite car ça faisait passer la température sous le couvercle à plus de 100 degrés Celsius, détruisant par le fait même la majorité des vitamines. Dans la Bible, Daniel et ses amis sont 4 jeunes hébreux parmi ce peuple esclave des Babybiloniens. Le roi des Babyloniens, Nébuchanedstar (Nebuchodonosor) avait ordonné qu'on lui emmène les jeunes les plus intelligents parmi les esclaves pour leur donner la chance de devenir des conseillers à travers son royaume (ce roi prônait la connaissance avant tout). Il ordonna qu'ils soient nourris pendant une semaine tels des rois pour ensuite passer les épreuves de connaissance. Daniel et ses amis s'arrangèrent en secret avec le cuisinier du roi pour être nourri de légumes seulement. Au bout de la semaine, Daniel et ses amis avaient été reconnus par le roi pour être les 4 personnes le plus intelligentes de son royaume de Babylone et les plus en santé physiquement. L'histoire ne dit pas cependant si le roi apprit leur secret plus-tard.

J'ai vu un reportage également dans le passé concernant des peuplades de gens vivant dans les montagnes de l’Himalaya avec peu de végétaux et une grosse bête domestique ou sauvage qui s'appelle le Yak. Des nutritionnistes sont allés voir sur place comment il se pouvait que ces gens vivent jusqu'à un âge avancé, en santé par surcroît. Tout ce qu'ils mangent est principalement à base de Yak : lait de Yak, fromage de Yak, viande de Yak. La conclusion est simple; l'environnement et le rythme de vie influent beaucoup sur la santé!

Bonne journée!

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MessageSujet: Re: le tofu ce poison silencieux   le tofu ce poison silencieux EmptyLun 22 Avr 2013 - 12:44

Azur le Sylvestre a écrit:
La conclusion est simple; l'environnement et le rythme de vie influent beaucoup sur la santé!

J'abonde en ce sens aussi !

Il y a jadis, j'ai vu un documentaire qui expliquait que chaque peuple, où qu'il soit, quoi qu'il fasse, était parfaitement adapté à son environnement et avait grand avantage, pour sa santé à TOUS les niveaux, à ne consommer presqu'exclusivement que ce qui se trouve dans un rayons de quelques kilomètres entourant son lieu de naissance (je ne me souviens plus de la distance exacte) ! Nous appartenons, en quelque sorte, à la terre qui nous sert de berceau ! Nous interagissons à travers elle et elle vit à travers nous ! Étant de descendance Amérindienne, ces principes sont fortement ancrés en moi...

Il y a une dizaine d'années j'ai remarqué que je devenais agressive lorsque je consommais de la viande ! Et plus fortement du poulet ! Lorsque je me suis mise à faire des recherches sur le sujet, sur les modes d'élevage et ce que les animaux vivaient au cours de leur trop courte vie, j'ai compris tout un tas de trucs ! Et j'ai fais mes choix, qui n'appartiennent qu'à moi ! Cependant j'ai encore le "goût de la viande", qui se manifeste 3-4 fois par année; mon corps en demande, à l'occasion ! Alors je fais comme mes ancêtres : je me procure de la viande sauvage, "élevée" naturellement et qui évolue paisiblement dans son environnement (il y a une ferme de bison biologique à St-Cuthbert, vraiment géniale !!!) ! Étrangement, cette viande ne me rend pas agressive...et je rend grâce à l'esprit de l'animal qui me l'a donné afin que sa force, sa vitalité et ses qualités continuent de croître en moi... Tout est inter-relié...

Dans un autre documentaire vu il y a quelques années, on y disait que les Amérindiens étaient ceux qui étaient les plus sensibles à la nourriture transformée... Leurs/nos corps physiques seraient incapables de gérer adéquatement les produits transformés, les produits chimiques, etc... Ce qui occasionne un stockage de toxines et de graisses car le corps ignore quoi faire de ces substances, donc il "met de côté" comme il peut... Dans d'autres cas, plus rares, le corps peut tout simplement tout rejeter, autant le "bon" que le "mauvais" ingéré, amenant la maigreur, plutôt que l'obésité...
La solution que j'ai tenté pour moi : revenir à une alimentation plus saine et épurée ! Avec les résultats positifs que je ne cesse de constater au fil des ans (très importante perte de poids, meilleur état mental, spiritualité accrue, par exemple) ! À force d'expérimenter, je suis devenue plus apte à choisir ce que je souhaitais faire/être/vivre au quotidien...

Je pense qu'il n'y a ni secret, ni cure miracle en terme d'alimentation... Cependant je crois fortement qu'il faut réapprendre à écouter notre corps, notre organisme et ses besoins spécifiques... Qu'il faut peut-être, avant tout, retrouver l'unité et la communication en soi, avec soi...

Ce qui marche pour moi ne s'applique pas à tous; ce qui marche pour d'autres ne s'applique pas forcément à moi... Tous uniques que nous sommes, mais évoluant sur la même matrice dans différents "berceaux", chacun possédant sa propre vérité intérieure...

Je conclurai par une phrase simple, qui est mon leit motiv en tant qu'Aubergine pour la saison qui débute :
"Je ne suis pas là pour convertir qui que ce soit; je suis simplement là pour donner à qui en veut..."
À force de me côtoyer, certains se rendront compte que je n'impose rien, mais que je donne beaucoup, sans attentes particulières et détachée du résultat...

Merci beaucoup pour cet ajout/partage, Azur !

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MessageSujet: Re: le tofu ce poison silencieux   le tofu ce poison silencieux EmptyVen 26 Avr 2013 - 16:33

Bon, alors je suis bonne joueuse, je suis allé sur Google et j'ai simplement tapé "soya danger"...

Le tout premier site qui m'est apparut :

http://www.biolineaires.com/articles/rayon-dietetique/dossier-soja/51-le-soja-et-ses-controverses.html
disait ceci :


"Le soja et ses controverses
juil-août 2007

La polémique autour du soja

Le soja, comme beaucoup d’aliments, contient des phyto-oestrogènes. Une fois ingérées, elles agissent à la manière des hormones naturelles ou synthétiques, mais avec une efficacité 1000 à 2000 fois moindre, d’où un effet atténuateur in vivo. Ils appartiennent à la famille des isoflavones dont les plus répandus dans le soja sont la génistéine et la daidzéine qui seront rendues en partie actives par l’action de la flore intestinale. Les isoflavones vont se fixer sur les récepteurs des oestrogènes et vont soit combler les déficits (cas de la ménopause) soit compenser les excès hormonaux (cas de la périménopause).

Dans son rapport de mars 2006, l’Afssa* conclue que le soja est potentiellement dangereux pour l’homme en raison de son contenu en isoflavones et recommande de ne pas dépasser 1mg d’isoflavones par jour et par kg de poids. Par ailleurs, elle donne un certain nombre de recommandations basées sur des résultats d’expérimentation animale, mais qui ne prennent pas en compte les études attestant de l’innocuité chez l’homme.

• Pour les nourrissons :
pas de soja avant 5/6 mois, le lait maternel étant le seul aliment adapté au bébé. L’Afssa déconseille les aliments à base de soja avant 3 ans. Des voix s’élèvent dans le milieu médical pour dire que parmi les adultes trentenaires des Etats-Unis et du Canada ayant consommé du soja depuis l’enfance, on n’a pas constaté, semble-t-il, d’effet négatif tant du point de vue de leur fertilité que de leur croissance. A noter que la consommation de soja dans l’enfance protègerait des maladies hormono-dépendantes et des cancers du sein à l’âge adulte.

Néanmoins, il est bon de rappeler que seules les préparations pour nourrissons à base de protéines de soja (PPS) sont adaptées à l’enfant de moins de 3 ans.
Il semble paradoxal par ailleurs de dénoncer les dangers des PPS alors que les produits laitiers contiennent des phyto-oestrogènes plus actifs (équol) qui apparaissent lors de la rumination et proviennent du fourrage (luzerne, trèfle, soja, etc.). Au demeurant, l’équol ne présente pas de danger. Reste que les nourrissons nourris avec des préparations à base de lait de vache, même s’ils consomment moins d’isoflavones que les nourrissons PPS, présentent des taux d’équol circulants plus élevé car l’équol (aglycone) est davantage assimilé.

• Pour la femme enceinte :
aucune étude n’a mis en évidence les effets négatifs d’une consommation de soja.
Par définition, les femmes enceintes ne sont pas ménopausées et consomment rarement des compléments alimentaires à base de phyto-oestrogènes…

• Pour les femmes ayant eu un cancer du sein :
même recommandation par l’Afssa de dosage à ne pas dépasser. Mais sur ce sujet, les expérimentations animales divergent : certaines ont montré un risque de croissance tumorale, d’autres non. Des études récentes confirment que le soja ne présente aucun danger même chez les femmes ayant eu des antécédents cancéreux.

• En cas d’hypothyroïdie :
selon les études, l’apport de soja ralentirait la synthèse de l’hormone thyroïdienne si les apports en iode sont insuffisants. Mais d’autres études ont montré que si l’apport en iode est correct, l’impact du soja est nul sur le fonctionnement de la thyroïde.

Faut-il ou non consommer du soja ?

Les dernières études tendent à prouver que les dangers potentiels du soja ont été largement surestimés. Par voie alimentaire, il est impossible d’atteindre des consommations présentant un risque. La marge de sécurité est donc immense.
Il serait donc dommage de se priver d’un aliment au profil nutritionnel et au bénéfice santé aussi intéressant.

Le soja permet de complémenter les céréales ou de varier les apports protéiques. Il constitue une alternative aux protéines animales. La fermentation, même si elle ne concerne que quelques produits spécifiques, favorise une grande digestibilité des protéines et des autres nutriments. D’autre part, sans gluten et sans lactose, il est d’un précieux secours pour les allergiques.

Sa composition en acides gras fait diminuer le taux de cholestérol sanguin et la pression artérielle.

Grâce à la présence de polyphénols, aux propriétés anti-oxydantes le soja assure une protection contre les maladies cardio-vasculaires. Les polyphénols du soja possèdent une autre propriété méconnue : c’est l’induction de l’apoptose qui traduit la capacité à provoquer le « suicide » sélectif des cellules cancéreuses, tout en protégeant les cellules saines.

Il assure un confort à la femme ménopausée par l’apport en phyto-oestrogènes. Néanmoins, l’effet n’est tangible que pour les femmes dont la flore intestinale permet de rendre actives les isoflavones.

Le soja, à condition qu’il soit bio, sans contamination par les OGM et consommé dans le cadre d’une alimentation diversifiée, constitue un excellent aliment

* Afssa :Agence française de sécurité sanitaire des aliments

Ce dossier a été élaboré avec la contribution de Mr Hervé BERBILLE, ingénieur, auquel vont nos remerciements. Mr Berbille est le créateur du premier lait infantile bio à base de lait de vache et du premier complément alimentaire bio pour le traitement de la ménopause.

Le saviez-vous ?
L'huile de soja ne contient pratiquement pas d'isoflavones. Crèmes dessert, yaourts et crème cuisine en contiennent relativement peu. Tofu, boissons au soja et steaks végétaux perdent également beaucoup d'isoflavones lors des procédés de transformation


---------

Ensuite j'ai eu d'autres sites qui allaient soit dans un sens, sois dans l'autre, et j'ai noté au passage ce petit paragraphe qui semble rejoindre certaines parties de posts partagés précédemment par Azur et moi :


Meilleure tolérance chez les Asiatiques ?

"Les « défenseurs » du soja prennent en modèle la population asiatique, qui en raison de leurs habitudes alimentaires consomment des quantités 10 fois supérieures d’isoflavones que dans nos populations occidentales, sans pour autant altérer leur état de santé (bien au contraire !). L’explication de ce niveau de tolérance élevé reste encore mal connue. Certains auteurs évoquent chez ces populations asiatiques, un métabolisme différent (absorption, transformation…) conduisant à de taux circulants plus faibles aux vues des quantités consommées. La forte consommation de fibres alimentaires de l’alimentation asiatique conditionnerait l’absorption intestinale et la transformation des isoflavones pour améliorer leur tolérance. Par ailleurs, une origine génétique n’est pas exclue."


Source:
http://www.irbms.com/soja-benefices-risques-sante

----------

Mais le site qui me semble (je dis bien SEMBLE) le plus objectif et le plus crédible est le suivant, compte tenu de la très longue liste de références à la fin :

http://www.passeportsante.net/fr/Solutions/PlantesSupplements/Fiche.aspx?doc=isoflavones_ps

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Alors voilà... Je maintiens mes propos précédents : il y a des pros soya et des antis soya !
Je pense que c'est à chacun d'en tirer ses propres conclusions et de faire ses propres choix dans la paix de l'être !

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